29 août – Premier défi, les Dim Sum du Hong Kong City Hall

Le weekend dernier, nous relevions le premier défi de notre poster du Lion Rock Press.

Le premier de la liste et le premier pour nous : aller manger des Dim Sum au Hong Kong City Hall.

Le lieu est emblématique… avec ses grandes tables, ses teintures rouges, ses lustres scintillants.

Le long de la salle, des serveurs vêtus de noir, avec de jolis tabliers poussent des chariots sur lesquels sont déposés des dim sum fumants. Quand un met nous intéresse, on le demande et le serveur tamponne ensuite simplement une petite carte sur notre table.

Siu mai, char siu bau, pattes de poulet, riz gluant, ha gao… on déguste avec satisfaction tous les plaisirs de la cuisine hongkongaise.

En partant, on s’arrête au-dessous où une exposition de calligraphie a lieu. Puis, nous croisons un chien qui fait du skateboard. La journée est plus que réussie !

12 avril – L’heure du thé, c’est maintenant…

Il n’y a pas d’heure pour yam cha (ou manger des dim sum). Tout moment est idéal : pour commencer la journée avant une randonnée, pour un brunch (tardif ou non), à midi, à 15h ou pour le goûter… et moins courant mais possible aussi, le soir (enfin, quand les restos sont ouverts).

Chaque restaurant de dim sum a ses spécialités et ses particularités mais le fonctionnement reste le même : le menu est souvent affiché sur le set… vous recevez un petit papier et vous cochez vous-même les dim sum qui vous font saliver !

Personnellement, les Dim sum c’est mon péché mignon ! J’adore ! Des xiao long bao, au char siu bao en passant par le lo bak go, les choy sum, les djong ou les haa gao… le choix est un casse-tête !

Pendant le repas, les serveurs viendront remplir les tasses de thé à volonté, histoire de rajouter à mon plaisir !

22 mars – Choco ou champi ?

Me voilà dans Times Square pour aller dire bonjour à mon amie Marsha qui vend des chocolats dans un marché temporaire. Son stand est magnifique et me fait saliver. Des dizaines de plaques de chocolat, de pâtes à tartiner, de granolas gourmands sont posés sur son étal.

Pourtant, la foule préfère se masser sur la table d’en face qui vend… des noix et des champignons séchés!

J’avoue trouver ça assez cocasse ! Et cela en dit long sur les différences de goûts entre mon palais de petite Suisse et celui des Hongkongais !

11 mars – Pas d’hypocrisie

Depuis plusieurs mois, nous achetons nos légumes dans une ferme hongkongaise.

Si habituellement, nous cuisinons peu de viande à la maison, cette semaine, sur un coup de tête, je décide de commander un poulet.

Nous recevons la livraison et c’est là que je découvre avec stupéfaction… que nous avons bel et bien reçu un poulet de la ferme. La bête est entière. Elle a encore sa tête, ses pattes, ses abats et quelques plumes.

Je saute au plafond. C’est là toute l’hypocrisie de ma « carnivoritude » : manger de la viande, cela me va, voir sa petite tête mignonne, cela me sert le cœur.

Bref, le poulet est là et il faut bien lui faire honneur, qu’il ne soit pas mort pour rien. Nous nous lançons donc dans un atelier boucherie dans notre petite cuisine… et enlevons les parties que nous ne mangerons pas, non sans galérer. Admiration aux bouchers. Ce n’est pas simple.

Après avoir fait au mieux, nous le grillons. Et le poulet est délicieux… mais je repense encore à sa mignonne petite tête. Je ne sais pas si je recommencerai.

Merci petite bestiole d’être morte pour nous!