21 décembre – Des singes aux portes de la ville

Samedi, nous sommes allés nous balader proche de Sham Shui Po. Aux portes de la ville, à quelques minutes de bus, se trouve en effet le réservoir de Shek Lai Pui, un petit havre de paix et de nature où s’ébattent des centaines de… singes.

Lorsqu’on m’avait dit qu’il y avait des singes en liberté à Hong Kong et que Shek Lai Pui était le lieu pour les voir, je m’étais dit que si nous en voyions une petite dizaine nous serions déjà bien chanceux. Or, en arrivant sur place, ce sont des centaines d’animaux qu’on a croisés. Ils sont en effet partout… des adultes, des bébés accrochés au ventre de leurs mères, des vieux singes poilus et impressionnants. Ils sautent, se reposent dans les arbres, s’epouillent à l’ombre ou mangent des fruits sur les tables de pique-nique.

D’après le site du gouvernement, 1800 singes vivent en liberté à Hong Kong, se déplaçant en bandes de 180-100 individus. Ce sont des Macaques Rhésus, avec leurs fesses rouges et leur petit cœur situé sous la queue…

Nous avons suivi tous les conseils : éviter de manger (les bêtes nous surveillaient du coin de l’oeil), ne pas s’approcher trop près (ce qui n’était pas simple, ils étaient partout) et ne pas les fixer dans les yeux. Mais ils étaient plutôt zen et habitués aux touristes. Le plus important reste avant tout d’éviter de consommer de la nourriture devant eux…

Et voici un petit aperçu en images de ces animaux au regard si humain.

24 octobre – Un nouvel habitant à la maison

Vous souvenez vous de Pistache, notre gecko semi-de-compagnie ? Eh bien, après avoir grossi, grossi et s’être épanoui dans notre cuisine, il a agrandi la famille!

Pistache est donc l’heureuse maman (ou papa?) de Bretzel, un micro-gecko qu’on pourrait poser sur l’ongle de mon pouce tant il est petit.

Je vous aurais bien fait une photo mais le pauvre a eu la trouille de sa vie en nous voyant arriver (et devant mes cris attendris face à ses mini-pattes).

Et maintenant il est caché derrière le canapé !

(Je crois qu’on a quand même de la chance d’avoir uniquement une colonie de geckos comme colocataires… La fermière chez qui j’achète nos légumes m’a envoyé hier matin la photo d’un serpent de 2 mètres et demi qui se baladait tranquillement dans son jardin…)

Pistache, l’heureuse maman ou l’heureux papa de Bretzel !

31 octobre – Les animaux que l’on mange

Alors qu’en Europe, les emballages de viande sont anonymisés, dépossédés de leur apparence première, à Hong Kong, on sait toujours ce que l’on mange.

Au marché, la carcasse du cochon entier est suspendue aux crochets des étals, des poulets vivants s’agitent dans de grandes cages avant de passer sous la lame du boucher, les poissons frétillent encore dans les bacs. C’est frais… et c’est explicite.

Au supermarché, on ne cache pas non plus l’origine des morceaux qui sont emballés dans des barquettes en plastique et le marketing nous rappelle sans honte – et avec beaucoup de mignonnerie – que la côtelette, c’est un petit porcelet mignon, et que le filet de poulet provient d’un joli animal à plumes.

Il n’y a aucune hypocrisie concernant ce que mangent les carnivores.

17 septembre – Le chant du gecko

Il est vendredi soir. Nous sommes affalés sur le canapé quand Nicolas et moi entendons un bruit étrange et indéfinissable.

Nous tendons l’oreille, allons inspecter l’appartement… et nous découvrons alors son origine ! C’est Pistache, le gecko qui nous chante la sérénade.

Comme Pistache mange tous les insectes environnants, il peut chanter autant qu’il le souhaite !

Et pour savoir quel bruit fait un gecko, cliquez tout simplement ici.

14 septembre – Fire !

Mon amie Anne quitte Hong Kong. Si la nouvelle me rend triste, elle m’a confié son hamster nain, Fire… qui n’a malheureusement pas le droit de prendre l’avion ! Aurait-il le Covid ? Non… il est seulement beaucoup trop petit.

Résultat des courses : nous accueillons donc un petit hamster à la maison, pour ma plus grande joie, je dois bien l’admettre !

Et j’avoue qu’il est absolument craquant !