Je ne sais pas ce qui me prend. Pourtant, alors que nous mangeons dans un excellent restaurant, je me mets à calculer combien de sandwichs bagnats au thon de chez Pougnier, à Genève, me faudrait il acheter pour couvrir la facture.
Le résultat est peu, très peu.
Décidément, quand les gens que je rencontre s’exclament que la Suisse est chère, ils n’ont pas tort.